L’article du Progrès du 20 mars est une sorte de compte-rendu de la réunion du 15 mars. Les réponses de la Mairie vont de la mauvaise foi à l’invective. Non, les services d’urgences ne passeront plus dans cette rue, non les blocs de bétons ne sont pas une obligation. Nous n’avons pas vu de blocs de béton rue Bataille dans le 8ème arrondissement. Nous n’avons pas vu de blocs de béton rue Gilbert Dru dans le 7ème arrondissement. Ce sont pourtant deux rues fermées de la même manière que la rue de l’Harmonie.
Nous attendons toujours que la Mairie nous fournisse les comptages dont on parle dans cet article. Existent-ils vraiment ?
Personne n’essaie d’intimider les agents de la métropole qui interviennent dans la rue. N’est-ce pas plutôt la Mairie qui cherche à intimider les protestataires avec ses propos outranciers ? Et c’est bien elle qui par idéologie persiste à ne pas reconnaître son erreur et a transformé la rue en champ de bataille. #saccageharmonie
En tout cas il hors de question pour les membres du collectif d’accepter cette piétonnisation au vu des arguments purement idéologiques avancés par la Mairie. Beaucoup de gens circulent en dehors des heures de sorties des écoles.